André Joseph François CAUBEL, contrôleur, puis inspecteur des contributions directes, consul (représentant) à Dunkerque et trésorier de la Commission de cyclo-tourisme du Nord, 75ème vénérable de la loge « L’Amitié et Fraternité » de 1938 à 1940, spécialiste de l’espéranto, membre de l’Association Anationaliste Mondiale, président de la section d’Orléans de l’Union Rationaliste, est né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) le 23 décembre 1904. Il était le fils d’André Arthémon CAUBEL, facteur au télégraphe, et de Marie Angéline GRESSET.

Acte de naissance :

            « L’an mil neuf cent quatre, le vingt quatre décembre à trois heures du soir, par devant nous, adjoint délégué de l’État civil de cette ville de Clermont-Ferrand, a comparu André Arthémon CAUBEL, facteur au télégraphe, âgé de vingt neuf ans, demeurant en cette ville, canton ouest, boulevard de la Pyramide 22, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né dans son domicile hier matin à quatre heures, de lui, déclarant, et de Marie Angéline GRESSET, son épouse, sans profession, âgée de vingt neuf ans, et auquel il a donné les prénoms de André Joseph François.

            Les dites déclaration et présentation faites en présence de François CHAVRIER concierge, âgé de cinquante neuf ans, et de Antoine PEUCH, employé au télégraphe, âgé de quarante cinq ans, tous deux non parents de l’enfant et habitants de cette ville ».

CAUBEL                   

CHAVRIER               

PEUCH                     

illisible

Lignée CAUBEL :

            CAUBEL André Joseph François, contrôleur aux contributions directes

                       ° Clermont-Ferrand 23 décembre 1904

            Fils de CAUBEL André Arthémon, facteur surveillant des postes, facteur au télégraphe, agent principal des Postes

                       ° Tournemire (canton de Saint-Affrique, arrondissement de Millau, Aveyron) 6 février 1875 à 10 heures. Le père, 35 ans, est cultivateur.

                          Témoins : Hippolyte PUECH, 40 ans, et Charles BARASEND, propriétaire, 57 ans, tous deux domiciliés à Tournemire.

                       x Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) 2 mai 1903 Marie Angéline GRESSET, sans profession, née à Seytroux (Haute-Savoie) le 23 septembre 1875, domiciliée à Thonon-les-Bains, célibataire, fille de feu François Honoré GRESSET, en son vivant cloutier à Saint-Jean-d’Aulps (Haute-Savoie), y décédé le 22 janvier 1893, et de Philomène DELERCE, sans profession, domiciliée à Thonon-les-Bains.

                          Témoins : Charles Émile GRESSET, manœuvre, 31 ans, domicilié à Thonon-les-Bains, frère de l’épouse, Pascal GRESSET, mécanicien, 35 ans, domicilié à Vallorbe (Suisse), frère de l’épouse, François FROSSARD cordonnier, 26 ans, domicilié à Thonon-les-Bains, non parent des époux, et Mademoiselle Marie GRESSET, sans profession, 22 ans, domiciliée à Thonon-les-Bains, sœur de l’épouse.

                          Le marié, domicilié à Thonon-les-Bains, est en résidence à Clermont-Ferrand. Ses parents ont donné leur consentement devant l’officier de l’État civil de Tournemire par acte en date du 10 avril 1903.

                       + Angers 18 janvier 1960, 84 ans.

                       # en août 1927, André CAUBEL, trésorier du Soutien fraternel des Postes, Télégraphes et Téléphones à Angers (section des Habitations à Bon Marché) se voit attribuer la médaille d’argent de la Prévoyance Sociale par le Ministère du Travail, de l’Hygiène, de l’Assistance et de la Prévoyance Sociale, pour services rendus aux œuvres de la prévoyance sociale.

                       ## Le 1er janvier 1929, titulaire de la médaille d’honneur en bronze des P.T.T. depuis au moins 5 ans, André CAUBEL, agent principal de surveillance à Angers, reçoit la médaille d’argent destinée aux agents et ouvriers en fonction.

            Fils de CAUBEL Pierre Arthémon, propriétaire-cultivateur

                       ° Tournemire, mairie de Roquefort-sur-Soulzon, 17 mai 1839 à 8 heures du soir. Le père, 40 ans, est cultivateur.

                          Témoins : Émile MOLINIER, commis négociant, 22 ans, et Louis Gaspard BUFFET, instituteur, 46 ans, demeurant tous deux à Roquefort.

                       x Roquefort-sur-Soulzon (Aveyron) 24 février 1873 Rosalie RASCALOU, domestique, 31 ans, domiciliée à Roquefort, née à Coudols, mairie de Viala-du-Tarn (Aveyron) le 4 décembre 1841, fille de feu Pierre RASCALOU, en son vivant cultivateur, et de Rose COMBELLES, sans profession, domiciliée à Coudols.

                          Témoins : Jean CAPELLE, instituteur, 42 ans, Eugène PALIÈS, maréchal, 59 ans, Étienne ARNAL, menuisier, 60 ans, tous domiciliés à Roquefort et non parents des époux, et Rémy JAMMES, chef cantonnier, 65 ans, oncle de l’épouse, domicilié à Tournemire.

                          Contrat de mariage devant Maître Pierre Hippolyte Marcellin HOURNET, notaire à Saint-Rome-de-Cernon (Aveyron).

            Fils de CAUBEL André, propriétaire-cultivateur

                       ° Tournemire 21 frimaire An VII (11 décembre 1798) à 6 heures du soir.

                          Témoins : Jean BARRIÈRE et Jean ANJOLBERT.

                       x Catherine VERNHES (VERGNES), née à Tournemire vers 1800, y décédée le 8 février 1878, âgée de 78 ans, fille de Jean Pierre VERNHES et de Suzanne GALZIN.

                       + Tournemire 1er février 1880 à midi, cultivateur, âgé de 82 ans, veuf de Catherine VERGNES. Témoins : Arthémon CAUBEL, cultivateur, 41 ans, fils du défunt, et Charles BARASEND, propriétaire, 63 ans,

            Fils de CAUBEL André Basile, propriétaire-cultivateur

                       ° Tournemire 9 avril 1773 à 9 ou 10 heures du soir, baptisé le 12.

                          p. Alexandre Basile VERNHES, prêtre vicaire, m. Marianne GENIÈS

                       x Tournemire 1er ventôse An VI (19 février 1798) Marianne ANDRAL, née à Tournemire le 21 juillet 1767, y décédée le 17 août 1846 à minuit, fille de Jean Pierre ANDRAL (Tournemire 1732-1806), cultivateur, et de Marianne BARRIÈRE.

                          Témoins : Jean BARRIÈRE, cousin germain, 36 ans, Jacques MOLINIER, 25 ans, Jean ALRIC, maréchal à forge, cousin, 35 ans, et Jean MARAVAL, 26 ans, habitant tous à Tournemire.

                       + Tournemire 1er août 1857 vers 5 heures du soir, âgé de 84 ans, veuf de Marianne ANDRAL.

                          Témoins : André CAUBEL, propriétaire-cultivateur, 57 ans, fils du défunt, et Louis ANGLADE, cultivateur, 43 ans, voisin du défunt.

            Fils de CAUBEL Pierre, maçon

                        ° Tournemire 10 mai 1736

                       x Tournemire 4 février 1766 Catherine BARRIÈRE, née à Tournemire le 19 décembre 1733, y décédée le 7 août 1790, fille de Pierre BARRIÈRE (Tournemire 1680-1768), maréchal, et de feue Marie Anne FASSON (ca 1690- Tournemire 1765).

                          Témoins : Pierre BARRIÈRE, maréchal, frère de l’épouse, Antoine GENIÈS, brassier, beau-frère de l’épouse, Joseph GUIBERT, tisserand, et Antoine GUIBERT, ménager, beaux-frères de l’époux.

                       + avant 1798

            Fils de CAUBEL Pierre, maçon

                       ° Tournemire 22 mai 1700

                       x Tournemire 5 févier 1725 Marie SALELÈS, fille de Pierre SALELÈS et de Marie ALMEYRAC.

            Fils de CAUBEL Jacques

                       x Anne COULET

            Fils de CAUBEL Pierre

                       x Jeanne CARRIÈRE

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            A l’exemple de son père, fonctionnaire des P.T.T., André Joseph François CAUBEL entre dans la fonction publique d’État et choisit les finances publiques, dans l’administration des contributions directes dont il sera contrôleur.

            En 1933, il est en poste à Bergues et il réside à Dunkerque, 23, rue des Vieux-Remparts. Il y épouse, à l’âge de 28 ans, Juliette Élise LEMOINE, jeune fonctionnaire de son âge, professeur d’école primaire supérieure.

Bulletin des Contributions Directes et du Cadastre : Janvier 1933

            « Situation au 1er janvier 1933 du Personnel de l’Administration des Contributions Directes et du Cadastre – … Personnel du service départemental … Département du Nord (1ère Direction)   … Dunkerque : – 26 Gravelines – SANTONI, contrôleur

                                     – 27 Saint-Pol-sur-Mer – MUFFET, contrôleur

                                     – 28 Dunkerque-Malo – FONTAINE (Gustave), contrôleur principal

                                     – 29 Dunkerque-ville – ADAM, contrôleur

                                     – 30 Dunkerque-Rosendaël – DOUTRELANT, contrôleur

                                     – 31 Coudekerque-Branche – MARTEL (Maurice), contrôleur    

                                     – 32 Bergues – CAUBEL, contrôleur… »

Acte de mariage :

            « Le vingt trois septembre 1933, onze heures, devant nous ont comparu publiquement en l’hôtel de la Mairie, André Joseph François CAUBEL, contrôleur des contributions directes, né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) le vingt trois décembre mil neuf cent quatre, vingt huit ans, domicilié à Dunkerque, rue des Vieux-Remparts 23, fils majeur de André Arthémon CAUBEL, agent principal des postes, et de Marie Angéline GRESSET, son épouse, domiciliés à Angers, rue VAUTHIER 14 ; et Juliette Élise LEMOINE, professeur d’école primaire supérieure, née à Dun-sur-Auron (Cher) le douze octobre mil neuf cent quatre, 28 ans, domiciliée à Dunkerque, rue du Président-Poincaré 60, fille majeure de Gustave Pierre Laurent Joseph LEMOINE, percepteur en retraite, et de Henriette Reine ANGER, son épouse, domiciliés à Lille, rue de Turenne, 35.

            Les futurs époux déclarent qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage.

            Les contractants ont déclaré, l’un après l’autre, vouloir se prendre pour époux et nous avons prononcé, au nom de la loi, qu’ils sont unis par le mariage.

            En présence de Marie Rose CAUBEL, employée des postes à Angers, et de Gustave Joseph LEMOINE, professeur de l’université de Lille, à La Madeleine, témoins majeurs qui, lecture faite, ont signé avec les époux et nous, Charles Louis Auguste VALENTIN, Maire de Dunkerque ».

A. CAUBEL               

J. LEMOINE                                    

Charles VALENTIN

M. R. CAUBEL                     

G. LEMOINE

            André CAUBEL semble occuper ses loisirs à parcourir le plat-pays à bicyclette,. En tous cas, il s’intéresse au cyclo-tourisme à tel point que dès 1933, au sein du Comité départemental du Nord de cyclisme, il est élu trésorier de la commission de cyclo-tourisme.

Le Grand Écho du Nord de la France : Édition du 17 décembre 1933

            « les Sports – Cyclisme – A la commission des courses du Nord –

            … Commission de cyclo-tourisme pour le Nord : Président M. Paul CAPPELLE, chef consul, à Dunkerque, secrétaire, M. Victor SDEZ, consul à Lille, trésorier, M. André CAUBEL, consul à Dunkerque, secrétaire adjoint, M. Georges PALMER, consul à Dunkerque… »

            L’année 1934 voit la naissance de sa fille Françoise CAUBEL à Malo-les-Bains où les jeunes-mariés viennent d’aménager, 64, avenue About.

Recensement de Malo-les-Bains en 1936 : 64, avenue About

            CAUBEL André Joseph, né en 1904 à Clermont-Ferrand, chef de ménage, contrôleur aux                      contributions directes,

            LEMOINE Juliette, née en 1904 à Dun-sur-Auron (Cher), épouse, sans profession,

            CAUBEL Françoise, née en 1934 à Malo-les-Bains, fille.

            Membre de la loge dunkerquoise « L’Amitié et Fraternité », il en devient le Vénérable en 1938, et jusqu’en 1940. Cette dignité lui vaut-elle une certaine hostilité de la part de la nouvelle hiérarchie au ministère des finances du gouvernement de Vichy ?

            Toujours est-il qu’après la défaite et la débâcle de 1940, André CAUBEL, promu entre-temps au grade d’inspecteur des contributions directes, a maille à partir avec le gouvernement de Vichy qui mène une chasse aux sorcières parmi les fonctionnaires. Il fait partie d’un groupe de 14 fonctionnaires des finances mis en disponibilité d’office par arrêté du 29 août 1940.

Journal Officiel de la République Française : Édition du 4 septembre 1940

            « Par arrêté du ministre secrétaire d’État aux Finances en date du 29 août 1940 :

            MM. … CAUBEL, inspecteur des contributions directes à Dunkerque…

            … ont été mis en disponibilité d’office, par mesure disciplinaire ».

            La presse de l’époque, dont « Le Figaro », « Le Petit Marocain », « Le Matin », « Le Petit Journal », « L’Action Française »… se fait l’écho de cette décision ministérielle. Certains de ces journaux, qui ne reparaîtront d’ailleurs pas après la Libération, n’hésitent pas à commenter à leur manière cette annonce du Journal Officiel de la République Française qui n’est pas encore celui de « L’État Français ».

Le Petit Journal : Édition du 5 septembre 1940

            « Sanctions disciplinaires dans le personnel des Finances –

            Le « Journal Officiel » a publié hier matin un certain nombre de sanctions prises par le ministre des Finances à l’égard de fonctionnaires dont l’attitude lors de l’avance allemande en mai et juin derniers, a été répréhensible et qui ont aussi failli aux devoirs et obligations de leur fonction.

            Ont été mis en disponibilité d’office par mesure disciplinaire…

            … CAUBEL, inspecteur des contributions directes à Dunkerque… »

L’Action Française, Organe du Nationalisme Intégral : Édition du 13 septembre 1940

            « Le cabinet Pétain commence à publier, avec l’approbation unanime de l’opinion nationale, les diverses sanctions que commande la situation dans laquelle des misérables ou des fous ont mis notre malheureux pays. On a lu ces jours-ci dans les journaux : … Ont été mis en disponibilité d’office, par mesure disciplinaire …

            … CAUBEL, inspecteur des contributions directes à Dunkerque…

            … Nous espérons qu’on connaîtra un jour à quels effets sont passés les milliards demandés pour la Défense Nationale, qui lui ont fait si cruellement défaut et desquels jamais on n’a entendu parler. Dans ce domaines aussi de criminelles erreurs ont été commises. Il importe que de haut en bas de l’échelle une poigne sérieuse et impitoyable se fasse sentir. Que les coupables s’en rendent compte. Leurs murmures ne couvriront pas la voix des patriotes et des honnêtes gens.

                                                                                             Léon DAUDET. »

            Cependant, André CAUBEL sera assez rapidement réintégré dans ses fonctions et muté à Châteaurenard (Loiret), où on le retrouve dès 1942.

Bulletin des Contributions Directes et du Cadastre – Direction Générale des Impôts :

            Année 1942

            « Mouvement de personnel –

            « … M. CAUBEL, inspecteur de 1ère classe (1er échelon), sans gestion (Loiret) ;

            Inspecteur de 1ère classe (1er échelon) (Loiret, contrôle de Châteaurenard – (Réorganisation)… »

            André CAUBEL était aussi un linguiste passionné. Il avait notamment commencé à apprendre l’Espéranto dès l’âge de 13 ans, en 1917. Il a fait partie d’associations espérantistes internationales et a même écrit une brochure d’initiation à cette langue, et collaboré à la rédaction de dictionnaires, sous le pseudonyme « An Kaŭ », premières syllabes de son prénom et de son patronyme.

            André CAUBEL (pseŭdonimo « An Kaŭ », naskiĝis en 1904, mortis la 1977, estis franca impostinspektoro en Orléans (departemento Loiret), aktivulo en Sennacieca Asocio Tutmonda (SAT), Esperanto-vortaristo kaj kunlaborinto de Plena Ilustrita Vortaro.

            André CAUBEL (pseudonyme « An Kaŭ »), né en 1904, décédé en 1977, est un inspecteur des impôts français d’Orléans, membre actif de l’Association Anationaliste Mondiale (SAT en espéranto) et collaborateur du « Dictionnaire Complet d’Espéranto ».

            CAUBEL lernis Esperanton en la jaro 1917 kaj fariĝis membro de Universala Esperanto-Asocio (UEA), kiun li tamen baldaŭ forlasis por aliĝi al SAT. Dum pluraj jaroj antaŭ sia emeritiĝo, li redaktis la revuon SAT-Amikaro kaj reprezentis SAT-Amikaro-n ĉe Franca Esperanto-Instituto.

            CAUBEL apprit l’espéranto en 1917 et devint membre de l’Association Espérantiste Universelle (UEA en espéranto), qui rejoindra bientôt l’Association Anationaliste Mondiale. Plusieurs années avant sa retraite, il édita la revue « Le Cercle des Amis de l’Association Anationaliste Mondiale » et la représenta auprès de l’Institut Espérantiste de France.

            CAUBEL transprenis la tajpadon de la manuskripto de Plena Ilustrita Vortaro de Esperanto kaj diskutis kun Gaston Waringhien pri lingve dubindaj kazoj. Li ankaŭ kunlaboris en la redaktado  de la vortaro Dictionnaire Pratique d’Espéranto, kaj verkis broŝuron Initiation à l’Espéranto eldonitan de La Juna Penso. Dum pluraj jaroj li preparis Esperanto-vortaron de sinonimoj.

            CAUBEL a dactylographié le manuscrit du « Dictionnaire Complet d’Espéranto », et a débattu avec Gaston WARINGHIEN au sujet des cas douteux de la linguistique. Il a collaboré aussi à la rédaction du « Dictionnaire Pratique d’Espéranto », et a écrit la brochure « Initiation à l’Espéranto » publiée par « La Jeune Pensée ». Pendant plusieurs années il a préparé un dictionnaire espéranto des synonymes.

Initiation à l’Espéranto par An Kaŭ
La Jeune Pensée – 1971

            André CAUBEL fut également président de la section d’Orléans de l’Union Rationaliste (association fondée en 1930). Il a d’ailleurs collaboré au « Dictionnaire Rationaliste » paru en 1964 aux Éditions de l’Union Rationaliste, 16, rue de l’École Polytechnique – Paris Ve.

            Il y fit paraître un article intitulé « Le Merveilleux et les Abeilles », sous-titré « Espéranto langue internationale ».

            André Joseph François CAUBEL est décédé à Olivet (arrondissement d’Orléans, Loiret) le 15 novembre 1977.

            Sa veuve, Juliette Élise LEMOINE est décédée à Olivet le 28 janvier 1985.